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Le chemin d'une vie, le cours de quelques pensées..

un joueb pour donner a mes mots une place ou se loger.

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Vendredi (07/12/07)

Se tourner vers le passé...

Pensées d'autrefois.

    Il est de ces moments insaisissable qui meurent d'une pensée, laissant derrière eux l'impression d'une lucidité éclatante, d'une vision claire de l'existence que l'on mène et des traits qui tissent notre visage. Un de ces moments a périt la seconde précédente et il ne reste plus que ce gout étrange sur mes lèvres. La facilité avec laquelle on s'adapte aux besoins sociaux de notre entourage est effrayante: si elle est ocultée par l'apparence d'une vie pleine, alors on ne peut creuser réellement notre propre personne. Et aujourd'hui il me semble que ce comportement je l'ai eu pendant de nombreuses années déjà, toujours en frolant la frontière entre lucidité et illusion. Alors que je m'apprête à tendre vers ce que j'aurai toujours du être, la peur me saisit. Est-ce une illusion de plus ? Je ne veux pas me leurrer davantage, je veux toucher à cet être que j'apercoit par visions éphémères, qui vit au fond et fait surface lorsque la situation ne lui convient plus.
    Je sais que je ne cherche pas en vain et que ma quête fut déjà décrite beaucoup plus en profondeur par de nombreux êtres avant moi, et pourtant je ne me suis jamais approché suffisemment près de leur lumière pour qu'ils m'insufflent la verité. Bref, ce que je décrit là est ni plus ni moins quun abandon des barrières inutiles. Puisse cet effort tenir tant que vivra mon âme !

Ecrit par Lueur, à 20:30 dans la rubrique "Actualités".

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Jeudi (16/11/06)

Salsa, mysterieuse inconnue,
Tu m'ensorcèles, prends mon âme à nue,
Pulsations rapides, et mélodie étrangère,
Communiquez a mon coeur, vos ailes légères.

Ô onde chaleureuse, joie vitale,
Perdue loin de son pays natal,
Quel reconfort de t'avoir a mes cotés,
Intangible amie à la voie rythmée.


Quand règnent doutes, larmes et colères,
Envole moi vers d'autres cieux,
Ennivre moi d'une voie claire et sincère,

Que tout soit couleur devant mes yeux.
Partons vers ton pays ensolleilé,
Retrouver l'essentiel, le ciel et sa fiancée.

Ecrit par Lueur, à 21:56 dans la rubrique "Actualités".

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Lundi (13/11/06)

Conseil à moi même.

Il n'est de retour possible du chemin sur lequel tu t'engages, souviens t'en, car  il est des décisions dont on ne peut changer les effets une fois produits. La vie t'a offert plus qu'a d'autres, cesse de ressasser les maux et les faiblesses que tu génères à tes depends, car il ne tient qu'à toi d'apercevoir une issueà tes peines, il suffit d'y songer, d'y croire comme tu peux croire a la tristesse. Tu as aimé, le temps est passé gardant un être tant désiré, ta voie était engagée, le train ne pouvait s'arreter, concentre maintenant ton attention sur l'horizon. La vie ne vaut d'être vecue que si elle n'est pas l'accumulation de pensées si sombres qu'elles obscurcissent le jour. Vit sans prejugés, que ceux qui ont fait acte de cruatutés payent pars les fautes qu'ils ont eux mêmes engendrés, mais qu'en aucun cas ta vie ne depende d'eux, car tu te condamnerais à pire que la tristesse : l'asservissement. Vit donc en homme libre de toute contrainte, et prend la vie a pleins bras elle t'appartient !

Ecrit pour moi même, qu'il me rende la lucidité chaque fois que l'egarement poindra.

Ecrit par Lueur, à 22:55 dans la rubrique "Actualités".

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Maturité

Fermer les yeux, tenter d'effacer,
Peu importe la vie autour,
Juste oublier, s'evader,
Et caresser les souvenirs d'amour.

Seul derrière la barriere de chair,
Dernier refuge à la realité,
Se delecter d'un autre air,
Retrouver la sensibilité.

Apprendre le mot responsabilité,
Comprendre pourquoi mes pieds sont enchainés,
Et cesser d'ignorer ce monde ou je n'ai jamais voulu exister,

Apprendre le mot maturité,
Que tant connaisse et savent employer,
Pour entre eux convaincre, pour en face blesser.

"Ce doit être cela la maturité,sentir ses chaînes tout à coup et les accepter
parce que fermer les yeux ne les abolit pas." Langevin.

Ecrit par Lueur, à 22:44 dans la rubrique "Actualités".

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Samedi (14/05/05)

Retour insensé...

Les feuilles de ma timidité sont tombées,
Et de cet être qui fut discret et parfois reservé
Ne reste que quelques fragments égarés,
Le bohneur dans l'âme, mais la honte d'avoir changé.

Mon coeur en flamme, mais mes pensées gelées,
Je vais heureux mais trop souvent vidé...
Pourquoi avoir abandonner ?
Par manque de volonté ?

Ecrit incohérent ou justification insensée,
Le besoin d'écrire sur moi l'aura emporté,
Et à défaut d'être très poetique, je reprend gout au passé,
Me prepare à reprendre mes ouvrages inachevés...

Si le temps m'a éffacé,
Je compte retrouver la force, la volonté,
De me rendre compte, ici, de mes pensées,
Et de me permettre a nouveau d'avancer.


Ecrit par Lueur, à 23:00 dans la rubrique "Actualités".

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Dimanche (17/10/04)

A l'ombre d'un saule...

    A l'ombre d'un saule je suspend le temps, met formes a mes émotions. Tandis que le saule verse les dernières larmes de l'orage passé, je laisse libre cours a mes pensées... Mon coeur bat étrangement ces derniers, temps, il s'emballe lors qu'arrive l'étincelle amoureuse, ralentit quand passe Dame Tristesse.
    Comme le saule je me tient face au monde, laissant le feuillage cacher mes pensées. Passent les tempêtes, coulent les pluies diluviennes, je conserve au plus profond de moi un refuge intact, un second coeur... Tout autour peut s'effondrer, il restera toujours la parcelle de terre ou je me tient. Mes racines m'ancrent dans ce monde, la volonté d'autrui ne me le fera pas quitter. S'il faut je tend la branche a mes congénères, qu'ils puissent y trouver quelque réconfort ; à eux de ne pas la briser.
    Quelques gouttes de pluies caressent le dos de ma main tandis que j'écris, le saule n'a pas finit de pleurer... Mais il est ce qu'il est, il ne brise pas sous le mauvais temps. Peut être un jour viendra la mort, mais jusqu'ici les coups s'arrêteront a son écorce.
    Image dérisoire de mon être mais il me semble que tous deux cote a cote nous communiquons..Nous sommes liés, nous appartenons au même monde...Le temps presse pour reprendre son cours... je ne le retient pas... le songe se termine...

Ecrit par Lueur, à 22:07 dans la rubrique "Actualités".

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Samedi (16/10/04)

Feu interieur...

La flamme brille, réchauffe le fond de son âme,
Le feu a pris de ces brindilles, il étincelle dans le fond de ses yeux.
Peu a peu l'esprit se libère de ce corps en larmes,
Il s'émancipe de sa tristesse, avance vers un destin heureux.

Chaque coup de vent fait frissonner l'or ardent,
A chaque instant il se brise, renaît inévitablement,
Seul dans les profondeurs, il affronte la mort,
Prêt a brûler la glace, encore et encore...

Tombée d'une étoile, l'étincelle divine reste vivante,
Elle gagne en vigueur, reprend place, efface la terreur,
Elle fige la crainte, face au chagrin est menaçante,
Elle anime le frêle corps humain, renforce son coeur.

Trop de chagrin se consumèrent en elle, la flamme est devenue brasier,
Dans chaque pensées la chaleur s'installe, tout rayonne,
Ses prunelles brûlent d'un feu non partagé,
Tout en son être abandonne un destin monotone.

"J'arpente aujourd'hui un monde ou les mensonges sont inutiles, Le chagrin s'installant se consumera face a mon âme incandescente"

Ecrit par Lueur, à 23:41 dans la rubrique "Actualités".

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Vendredi (17/09/04)

J'aurai beau donner nom a toutes ces émotions,
Aucun ne refléterai l'étendue de leur intensité,
Il me faudrait alors toucher le fond,
Pour comprendre la dure réalité.
La terre battue de ma jeunesse a disparue,
Seul face contre le métal brûlant,
J'apprends a mes dépends que l'amour n'est pas ce que j'ai cru,
Qu'il s'efface et s'éteint sous les larmes tout en restant ardent,
Comme l'arbuste qui brûle mais ne se consume pas.
Mon coeur se meurt mais vit,
Il crie, agonise et craint chaque nouveau pas,
Il souffre, saigne mais bat malgré lui.
Sombre demeure aux aspects lugubre que mon âme;
Chaque recoins se meut et chuchote.
Au milieu coule le ruisseau de mes larmes,
Sur ce ruisseau mes pensées qui se ballottent
Rien d'autre qu'un navire qui coule,
Une noix sur le fleuve de la tristesse.
Sur le pont détrempe roule,
Les quelques restes de tendresse.
Mais tout cela est voué a la noyade,
Pendant que mon coeur bat la chamade,
Ce navire de fortune joue la bravade.
Tout dans cet être n'est que ruine malade.

Ecrit par Lueur, à 21:45 dans la rubrique "Actualités" - Mise à jour : Samedi 25 Septembre 2004, 20:42.

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